Glos

 

 

Cadastre de 1825

Sur archives.calvados.fr


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Eglise Saint-Sylvain

XIe siècle.

Elle abrite des lambris de stalles et des vanteaux de portes du XVIIe siècle ainsi qu'une statue de l'Assomption de la Vierge du XVIIIe classés à titre d'objet

"L’église est une des plus anciennes et des plus intéressantes des environs de Lisieux...
L’intérieur de l’église offre un riche mobilier (boiseries, stalles, lutrin)..." (paroisselisieux.fr)

Sur Patrimoine-religieux.fr

"L’église, sur sa colline domine la vallée et le bourg ; c’est une des plus anciennes des environs de Lisieux. La nef serait de la moitié du XIe siècle, ainsi qu’en témoigne, sous le crépi, un appareil grossier en feuilles de fougères, qu’on peut voir côté nord, à côté de la sacristie. Les murs de la nef sont d’une grande épaisseur ce qui explique la faible importance des contreforts nord et sud." (glos.fr)

"L'église, qui occupe le point culminant du coteau, est une des plus anciennes et des plus intéressantes des environs de Lisieux. Sa construction paraît remonter aux premières années du XIe. siècle.
Les murs latéraux, beaucoup plus élevés que ne le sont ordinairement ceux des églises rurales qui datent de la même époque, offrent un ancien blocage, recouvert d'un crépi qui se détache à plusieurs endroits et laisse voir l'appareil grossier en feuilles de fougère.
Deux contreforts seulement, l'un au nord et l'autre au midi, soutiennent la nef dont les murs sont d'une grande épaisseur. La faible saillie de ces contreforts qui atteignent presque le toit ; la largeur considérable des joints qui relient les pierres ; le relief que présentent ces joints, dont les bords sont taillés en biseau ou chanfrein ; enfin, l'arrangement des pierres, posées en délit et formant des espèces de chaînages (cette disposition est surtout visible à l'angle sud-est et à l'angle nord-est de la nef), sont autant d'indices d'une haute antiquité. Nous ferons observer que la nature des pierres employées dans la construction des contreforts est différente : les unes sont en calcaire oolithique, d'un grain très fin ; les autres en calcaire très poreux, ayant une grande ressemblance avec le tuf ou travertin, qui était généralement en usage pendant la période romane.
Les murs latéraux du choeur, fortement en retraite sur ceux de la nef et également recrépis, n'étaient soutenus primitivement par aucun contrefort. Les contreforts saillants, à double glacis, que l'on voit à l'extrémité orientale de ces deux murs, près du chevet, ont été élevés à la fin du XVe. siècle ou au XVIe. La partie supérieure de ces contreforts a été refaite en briques plates dans le courant du XVIIIe. siècle...
L'église de Glos a pour patron saint Laurent..." (A de Caumont 5-162)

Elle a été grandement modifiée depuis la description d'Arcisse de Caumont :

Sur D519 : 49°07'26.8"N 0°16'38.9"E

Glos : Eglise Saint-Sylvain

Glos : Eglise Saint-Sylvain

Glos : Eglise Saint-Sylvain

Glos : Eglise Saint-Sylvain

 

Presbytère

"Le presbytère daterait du XIIIe siècle pour les parties est et ouest, tandis que la façade et l’arrière, avec leur agencement de pierres et de briques seraient de l’époque Louis XIII. Il a beaucoup d’allure avec sa grande porte blason, son toit très haut portant deux étages de fenêtres mansardées. Dommage qu’une construction banale ait été ajoutée sur la droite de la façade. De ce même côté, au pignon est, on remarque l’emplacement d’une ouverture maintenant obstruée. Elle permettait, par un petit pont, l’accès direct à l’église." (glos.fr)

"La toiture du manoir est particulièrement réussie avec une rangée de cinq lucarnes à la capucine dressées en élévation de chacune des fenêtres de l'étage et surmontées de deux lucarnes plus petites mais de même conception." (glos.fr)

A côté de l'église

Glos : Presbytère

 

Château de Coq

XVe siècle.

"A 1 kilomètre environ du village de Glos, au pied d'un coteau qui domine la rive gauche de l'Orbiquet, s'élevait un ancien manoir auquel, dans le pays, on donne le nom de château. D'après la tradition locale, ce château aurait été détruit par les Anglais dans le milieu du XVe. siècle, après la bataille de Formigny, qui les expulsa définitivement du sol normand. On voyait encore, il y a une vingtaine d'années, quelques vestiges des murs de fondation. La maison en pierre qui s'élève à mi-côte a été, dit-on, bâtie avec les pierres provenant des débris de cet ancien château dont les communs s'étendaient au nord jusqu'au chemin." (A de Caumont 5-170)

"Le petit manoir du Coq date du XVème siècle. Ce charmant manoir, dans son écrin de verdure où coule un ruisseau, se situe sur la rive gauche de l'Orbiquet où s'élevait autrefois le château fort de Glos. Il dominait toute la vallée." (glos.fr)


Sur glos.fr

Château-fort de Glos :

"Glos possédait autrefois un château-fort dont il ne reste plus aucun vestige. Cassini n'a pas marqué sur sa belle carte de France, dressée de 1744 à 1793, l'emplacement de ce château : d'où il faut conclure qu'il n'existait plus à cette époque. On aperçoit à peu de distance, au sud de l'église, sur le bord de la rivière, une motte féodale près de laquelle s'élevait, dit-on, le château." (A de Caumont 5-170)

 

Manoir de la Vallée

"Ce manoir était appelé au début du siècle Manoir de Franqueville, nom de cette famille qui résida au domaine jusqu'à la fin du XVIIème. La demeure fut édifiée au XVIème siècle mais a subi de nombreux remaniements. La façade sud a gardé son authenticité avec sa base de pierre, ses pans de bois et son étage en encorbellement. Des tuileaux décorent ça et là le hourdis du niveau inférieur.
Un magnifique colombier en bauge se dresse à l'est du manoir. Ce colombier permettait de loger huit à neuf cent pigeons." (glos.fr)


glos.fr

"Au milieu des prairies s'élève un ancien manoir, appelé la Vallée, qui a appartenu à la famille de Franqueville. Ce manoir, situé à peu de distance de l'église, près de la rivière, est une construction en bois du XVIe. siècle. Une des salles offre un joli pavage émaillé, dans un bon état de conservation.
Le colombier est de forme circulaire." (A de Caumont 5-172)

Rue de la Gare : 49°07'21.9"N 0°16'32.7"E

 

Manoir de Bray

XVIe siècle. MH. Sur Base Mérimée

Ancien manoir d'en bas sur bmlisieux.com

"Glos, près Lisieux. Ancien manoir d'en bas. Maison de fermier. Façade. Manoir formé de deux bâtiments accolés, dont celui de droite paraît être du XVe siècle, et celui de gauche, un peu postérieur, se classe vers la fin du même siècle. Pan de bois à colombage vertical ; premier étage en encorbellement sur sommiers et pigeâtres avec entretoises moulurées ; lucarne en saillie, à ferme débordante trilobée. Rangées de fenêtres à meneau horizontal. Caractères urbains appliqués à une construction rurale. Appelé autrefois La Brairie."

"Le Manoir de Bray. Situé un peu plus haut sur le versant de la colline il date du XVIIIème. Il a été complètement remanié au début du XXème ; de chaque côté d'une tour d'escalier polygonale sont bâtis deux corps de logis en pans de bois sur un soubassement de pierre. Beau parc aux essence variées." (glos.fr)

Chemin des Loges : 49°07'20.6"N 0°16'00.9"E (Invisible)

Il semble que ça soit marqué "Manoir de Bray" sur la pancarte :


Sur Google Street View


Sur Base Mérimée

 

Ancien manoir d'en haut sur bmlisieux.com

"Glos, près Lisieux. Manoir de Bray, ancien manoir d'en haut. Fin du xve siècle. Pan de bois à colombage vertical, encorbellement simple, sans entretoises, du premier étage sur le rez-de-chaussée. Lucarnes à ferme débordante trilobée. Tourelle polygonale, en pans de bois, formant saillie sur la façade et contenant l'escalier. A l'intérieur, porte ancienne à panneaux plissés. Le nom de ce manoir vient de la famille Debray, qui en a possédé les terres, et que l'on trouve de 1406 à la première moitié du XVIIe siècle."


sur bmlisieux.com

 

Manoir de la Brairie

XVe siècle. MH.

"Bray est un domaine qui s'étendait de l'Orbiquet au chemin de la vallée Barrée et du chemin des Bossettes jusqu'à l'ancienne commune Saint-Jacques. Il est possédé par la famille Debray ou de Bray.

Le Manoir de la Brairie, le plus ancien (XVe), l'un des plus beaux édifice inscrits à l'inventaire des monuments historiques. Sous un soubassement de grès, la manoir présente ses pans de bois massifs et élégants. Deux constructions sont en fait accolées. En raison de la forte de pente du terrain, le soubassement du pignon s'ouvre sur une cave. L'harmonie de l'ensemble est assurée par l'encorbellement et les petites fenêtres de l'étage reposant sur ue prise de Croix de Saint André qui court au niveau des allèges. La seule façade ne compte pas moins de seize fenêtre à petits carreaux donnant beaucoup de charme à l'étage. Sur l'autre façade une tourelle carrée renferme l'escalier à vis. A l'intérieur, belles cheminées monumentales caractéristiques des grands logis gothiques." (glos.fr)


glos.fr

Manoir / Ferme de la Brairie :

Chemin des Loges ou Chemin des Bossettes : 49°07'10.1"N 0°16'15.1"E (Invisible)

 

Manoir de Colandon

XVIIe, XVIIIe siècle. MH

"Une longue allée plantée mène à ce joli petit château ou manoir situé entre le vieil aqueduc romain maintenant disparu et le village de Glos dominé par son église.
Le château fût édifié en deux temps : la partie centrale au début du XVIIème siècle avec l'empreinte du règne de Henri IV, fut bâtie sur un plan rectangulaire. Les ouvertures surmontées de linteaux droits percent des murs à chaînage de pierres limitant des panneaux de silex gris. Le pavillon situé à l'est est soigné : un joli toit à la Mansart coiffe cette adjonction du XVIIIème siècle. L'aile bâtie à l'ouest en retour se confond avec le manoir Henri IV.
A l'intérieur, bel escalier refait à l'ancienne et jolis lambris. Un peu au nord, se trouve un très joli colombier cylindrique couvert d'un toit de tuiles." (glos.fr)


glos.fr

Le Pont de Glos, Chemin de Colandon : 49°07'38.5"N 0°16'49.3"E (Invisible)


Sur Google Street View


Sur J.Y. Merienne

 

Gare de Glos

Gare de Lisieux --- Gare du Mesnil-Guillaume

Sur la ligne de La Trinité-de-Réville à Lisieux (Wikipedia)
- Voir aussi ma page

Détruite.

Elle était sûrement ici. Al'ouest de la D519 : 49°07'17.3"N 0°16'16.3"E


Sur Geneanet.org

 

Villers-sur-Glos

En 1825, Glos (589 habitants en 1821) absorbe Villers-sur-Glos (153 habitants), au nord-ouest de son territoire.

"Le fief principal de cette paroisse devait être la Motte...

"D'autres fiefs se trouvaient sur le territoire de Notre-Dame de Villers, bien que sa superficie ne soit pas considérable : tels étaient Grosmesnil, contigu à la Motte ; le Boulley et Blancheporte, enfin la Quaise qui offre un grand intérêt." (A de Caumont 5-152)

"Le Boulley est, je pense, la propriété de M. Aug. Asselin, receveur des finances, membre de l'Association normande. Il est situé entre deux coteaux boisés, dans une situation charmante. La maison, assez importante, a deux ailes qui datent du règne de Louis XIV, avec toit à la Mansard. Le centre parait beaucoup plus ancien, mais il a été modernisé à un tel point qu'il est impossible d'en reconnaître la date. Il a pourtant conservé son toit élevé et une grande cheminée en briques ornées d'arcatûres simulées avec dessins dans les fonds, système qui remonte au XVIe. siècle.
Le colombier carré, construit en briques, est surmonté d'un épi en terre jaune vernissée, qui représente un pigeon.
La famille de Boctey était encore en possession d'un autre fief assis sur le territoire de la même paroisse, mais à un quart de lieue au moins vers le midi, de l'autre côté de la vallée ; il se nommait la Houssaye." (A de Caumont 5-152)

 


Sur Geoportail

 

Cadastre de 1825

Sur archives.calvados.fr


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Eglise de Villers-sur-Glos

A l'époque d'Arcisse de Caumont (vers 1850) :

"Villers-sur-Glos, ecclesia de Villaribus, de Villula,
La paroisse de Villers ayant été supprimée lors du Concordat, et son territoire réuni à Glos, l'église a été démolie il y a une vingtaine d'années.
La cloche, instrument précieux, et les deux petits autels, sont maintenant dans l'église de Glos. On y avait également transporté le maître-autel ; mais comme il n'y avait point d'endroit propice pour le placer, il a été dépiécé : on en voit dans le clocher les morceaux disloqués." (A de Caumont 5-150)

Emplacement approximatif : 49°07'39.6"N 0°17'38.2"E


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Château de Villers ou de Grosmesnil

"Situé sur le territoire de l'ancienne paroisse de Villers rattachée à Glos en 1825, le château de Villers (en réalité le château de Gromesnil) se dissimule au fond d'un valon et s'entoure d'un vaste parc où dévalent ruisseaux et cascades en direction de la rivière la Courtonne.
Le château de Villers est formé d'un corps de logis de plan rectangulaire. Deux ailes rehaussées d'un toit à la Mansart s'avancent en limitant une petite cour d'honneur. L'aile située à l'est fut construite au début du siècle dernier.
Le parc admirablement planté, le ruissellement des eaux, la succession des bassins font de Villers un cadre enchanteur." (glos.fr)


glos.fr

D137, puis Chemin de Villers : 49°08'01.8"N 0°17'55.7"E (Invisible)


Sur J.Y. Merienne

 

Manoir de la Quesse, ou de la Quaize

"Après le château de Villers se trouve le manoir de la Quaize. Le nom le plus ancien de ce lieu, Guièze, fait penser que ce pourrait être un lieu druidique où se cueillait le gui.Le manoir est constitué de deux bâtiments en prolongement, et la partie la plus ancienne (inscrite à l'inventaire des monuments historiques) a été construite au XVIè siècle.C'est une nole demeure à pans de bois, le hourdis de la façade tournée vers l'est est constitué de très belles briques vernissées vertes et rouges selon des motifs harmonieux ; c'est l'aspect le plus remarquable du manoir. Sur les colombages, élégantes sculptures en forme de rosaces, de losanges.
L'étage forme un encorbellement que le sculpteur a voulu souligner en y faisant surgir des rageurs. La partie arrière du manoir est formée d'un échiquier de pierres blanches et de briques rouges qui monte jusqu'à l'étage. Au milieu de cette partie du manoir est sculptée la blason de Jacques d'Annebault, évêque de Lisieux de 1543 à 1560. Le manoir de la Quaize est redevenu aujourd'hui (grâce à ses propriétaires), unr des merveilles du Pays d'Auge." (glos.fr)


glos.fr

XVIe siècle. MH. Sur Base Mérimée

"Le fief le plus intéressant pour l'archéologue, bien qu'il n'ait pas été hiérarchiquement le plus important, c'est certainement la Quaise ou la Quèze.
Malgré les nombreuses mutilations que cette maison a subies, elle n'en reste pas moins un rare spécimen des constructions domestiques du commencement du XVIe. siècle. Elle est en bois : toutes ses poutres principales sont couvertes de sculptures dans le style du règne de François Ier. Les sablières qui séparent les étages sont sculptées, à leurs extrémités, d'un nerveux rageur qui engloutit les moulures. Toutes les autres pièces, verticales ou horizontales, sont couvertes de culs-de-lampe, de rosaces, de losanges, d'enroulements et autres motifs analogues. Une jolie porte en accolade avec pinacles, blasons, feuillages, s'ouvre dans la façade; malheureusement elle a souffert...
Le colombier a été détruit en même temps que le comble, comme un vil instrument de la féodalité. Il était rond, de dimension fort ordinaire et sans architecture..." (A de Caumont 5-153)

D137, puis Chemin de Villers, puis Chemin de la Quesse : 49°08'00.4"N 0°17'29.5"E (Invisible)


Sur Base Mérimée

 

Manoir de la Motte

"Le Manoir de La Motte, lui aussi planté dans le décor de verdure, non loin du château de Villers, fut construit au XVIIè siècle. Un plan rectangulaire fut choisi pour son édification. L'ordonnance du pan de bois dresse de longs poteaux sur les deux niveaux de l'habitation. Un toit de tuiles plates à quatre pans coupés couvre cette demeure.
Le manoir a subi de nombreuses transformations vers 1910. Le logement initial comprend deux pièces au rez-de-chaussée, disposées de part et d'autre d'un bel escalier dont la rampe est formée par de remarquables balustres en bois." (glos.fr)


glos.fr

"Le fief principal de cette paroisse devait être la Motte, puisqu'il avait le droit de patronage. Il est situé tout près de l'ancien enclos de l'église, qui formait enclave dans ses terres. Il se trouve assis sur le bord d'un petit ruisseau qui emplissait autrefois ses fossés, et c'est sans doute à cette situation qu'il doit son nom. Il ne consiste, du reste, actuellement qu'en une maison de bois peu considérable, pouvant dater du règne de Louis XIV. Je ne crois pas qu'il ait jamais existé de manoir féodal appelé proprement Villers, et je pense que ceux des gentilshommes que l'on trouve avoir pris cette qualification étaient seigneurs de la Motte." (A de Caumont 5-151)

D137, puis Chemin de Villers : 49°07'45.5"N 0°17'38.1"E

 

Voie romaine entre Lisieux et Chambrais (Broglie)

Carrières de Glos. — La voie romaine de Lisieux à Chambrais traversait le territoire de Glos. C'est sur le bord de cette ancienne voie que se trouvent les célèbres carrières de Glos, dont les coquillages fossiles ont été décrits avec soin par MM. Goubert et Zittel, dans leur Dictionnaire de Conchyliologie."
(A de Caumont 5-171)

"Broglie (prononcée brogli) est une commune française située dans le département de l’Eure, en région Normandie, appelée Chambrais (orthographié parfois Chambray ou Chambrois) jusqu’au milieu du XVIIIe siècle." (wikipedia)

 

Voir aussi :

- Manoir d'en bas, manoir d'en haut, etc. sur bmlisieux.com

 

 

Liens :

 

http://www.societehistoriquedelisieux.fr/?p=6126
"La commune de Glos formée de la réunion de la réunion des deux paroisses de Glos-sur-Lisieux et de Notre-Dame-de-Villers à fait l’objet de multiples recherches et de monographies dont la plus importante reste celle de l’abbé LECOURT..."

https://www.glos.fr/chateaux-et-manoirs/
Il est peu de communes au patrimoine architectural atteignant la richesse de ce charmant village de Glos. De petits châteaux, de grands et de modestes manoirs, de belles maisons en colombages se dispersent sur le territoire communal.
(Clos des Iris, Le Manoir du Fief...)


Sur Glos.fr