Les Loges-Saulces

 

 

Cadastre de 1828

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Eglise Saint-Maurice

XIe ou XIIe siècle, avec appareil en arête-de-poisson. Sur Base Mérimée
"Ancien diocèse de Sées, avant la révolution, sous le patronage de l'abbaye saint Martin de Sées ; édifice 11e ou 12e siècle (appareil en arêtes de poisson) ; partie ouest de la nef et clocher 18e siècle"

"L'église des Loges, de forme rectangulaire, sans transept, n'a pas trente pieds de longueur ; sa largeur est de 11 pieds.
La partie occidentale de la nef est moderne ; l'autre partie et le choeur appartiennent au style roman: on y voit des pierres disposées en arête de poisson et des petites fenêtres étroites et cintrées.
Une fenêtre ogivale à compartiments avait été pratiquée postérieurement dans le chevet." (A de Caumont 5-541)

Sur D240 : 48°51'56.0"N 0°18'02.8"W

Les Loges-Saulces : Eglise Saint-Maurice

Les Loges-Saulces : Eglise Saint-Maurice

Les Loges-Saulces : Eglise Saint-Maurice
2017-03-26

 

La Cour des Loges

"Il existait un château féodal aux Loges-Saulces avec une cour de haute justice : "la cour des Loges". Des fossés entourant l'ensemble ; ne subsiste qu'un étang." (ecole.loges.saulces.pagesperso-orange.fr)

"Le lieu-dit, La cour-des-Loges où siégeait une cour de Haute Justice, rappelle que le village avait une place privilégiée au Moyen Âge." (paysdefalaise.fr)

"L'emplacement du château féodal des Loges existe encore: il était défendu de tous côtés par des fossés pleins d'eau ; c'est aujourd'hui une ferme qui appartenait, il y a 50 ans, à la famille d'Oilliamson. Il y avait une haute justice aux Loges. Les jugements se rendaient au manoir qui se nommait la Cour des Loges."(A de Caumont 5-541)

La cour des Loges, au nord-est : 48°52'08.2"N 0°17'31.7"W (Au bout d'une route sans issue)

 

Gare des Loges-Saulces :

Quand la ligne Falaise - Berjou ouvre le 15 avril 1874, les trains ne s'arrêtent pas entre la gare de Ménil-Vin et celle de Martigny. Les habitants des Loges-Saulces envoient une pétition au conseil général du Calvados pour que le train fasse une halte dans leur commune. Le département demande donc à ce qu'une halte à voyageurs soit établie dans la maison de garde-barrière n°10[1]. Le 20 juin 1875, cette demande est rejetée sur les recommandations des ingénieurs du contrôle" (Wikipedia)

 

Voir aussi :

- Maisons et fermes sur Base Mérimée

 

 

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